mardi 17 mai 2016

Le Doute !

Le Doute


( source un clic sur l'image)




Le doute, je l’ai souvent croisé au détour d’un bonheur en apparence sérénité. Un matin tout est différent tout me parait hostile. Il s’invite sans prévenir lorsque la vie semble facile.
Le doute est là, il t’agrippe , il t’envahie. La raison a beau lutter , le doute est sur de lui.

Ce matin, le verre est vide, je n’y voit plus rien. Un rendez vous avec moi-même, le doute me connait bien. Les jours de doute, on regarde derrière et on regrette. Les jours de doute, on regarde devant et on s’inquiète. La solitude est immense. On se fait face. Les certitudes qui nous calmaient et nous berçaient s’effacent. Dans ces instants, je suis fragile, je suis figée, je me sens inutile, vide, oppressée, ma tête est pleine. Le verre est vide, il est clair que j’y voit plus rien. Un rendez vous avec moi-même, le doute me connait bien.
Quand la confiance devient une amie trop confortable, vient le moment inévitable où c’est elle qui nous trahit. Le vent se lève, nous apporte ce petit grain de sable. Le doute s’immisce en nous, pour ça, on peut compter sur lui. Il faut parfois qu’il m’inflige quelques brulures pour que j’accepte d’abandonner mon armure.
Ce matin, le verre est vide, je n’y voit plus rien. Un rendez vous avec moi-même, le doute me connait bien. Les jours de doute, on regarde derrière et on regrette. Les jours de doute, on regarde devant et on s’inquiète. La solitude est immense. On se fait face. Les certitudes qui nous calmaient et nous berçaient s’effacent. Dans ces instants, je suis fragile, je suis figée, je me sens inutile, vide, oppressée, ma tête est pleine. Le verre est vide, il est clair que j’y voit plus rien. Un rendez vous avec moi-même, le doute me connait bien.
Je me suis prise une claque, il est temps de lâcher, laisser mes doutes être sincères avec mes vérités. Les apparences se sauvent mais pas le doute. Je reste là, j’aimerai que l’on m’oublie un peu, pouvoir me planquer sous mes draps mais si je doute, j’apprend, je doute car je comprend. Grandir vaut la peine de serrer encore les dents car sans lui, j’aurais eu l’impression d’être arrivée alors qu’en réalité j’avais à peine avancer.
Alors dans ses moments là même si à l’intérieur, c’est le bordel, que j’ai peur de faire un pas que j’ai peur même du ciel. Je relève la tête car si je doute d’être heureux ne serait ce que pour donner l’exemple, j’essaye au mieux…
Parole issue de la chanson Le doute (Réponse à Grand Corps Malade) de Nell

Je t'invite à écouter cette chanson sur Deezer:



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