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Le
doute, je l’ai souvent croisé au détour d’un bonheur en apparence sérénité. Un
matin tout est différent tout me parait hostile. Il s’invite sans prévenir
lorsque la vie semble facile.
Le
doute est là, il t’agrippe , il t’envahie. La raison a beau lutter , le doute
est sur de lui.
Ce
matin, le verre est vide, je n’y voit plus rien. Un rendez vous avec moi-même,
le doute me connait bien. Les jours de doute, on regarde derrière et on
regrette. Les jours de doute, on regarde devant et on s’inquiète. La solitude
est immense. On se fait face. Les certitudes qui nous calmaient et nous
berçaient s’effacent. Dans ces instants, je suis fragile, je suis figée, je me
sens inutile, vide, oppressée, ma tête est pleine. Le verre est vide, il est
clair que j’y voit plus rien. Un rendez vous avec moi-même, le doute me connait
bien.
Quand
la confiance devient une amie trop confortable, vient le moment inévitable où
c’est elle qui nous trahit. Le vent se lève, nous apporte ce petit grain de
sable. Le doute s’immisce en nous, pour ça, on peut compter sur lui. Il faut
parfois qu’il m’inflige quelques brulures pour que j’accepte d’abandonner mon
armure.
Ce
matin, le verre est vide, je n’y voit plus rien. Un rendez vous avec moi-même,
le doute me connait bien. Les jours de doute, on regarde derrière et on
regrette. Les jours de doute, on regarde devant et on s’inquiète. La solitude
est immense. On se fait face. Les certitudes qui nous calmaient et nous
berçaient s’effacent. Dans ces instants, je suis fragile, je suis figée, je me
sens inutile, vide, oppressée, ma tête est pleine. Le verre est vide, il est
clair que j’y voit plus rien. Un rendez vous avec moi-même, le doute me connait
bien.
Je
me suis prise une claque, il est temps de lâcher, laisser mes doutes être
sincères avec mes vérités. Les apparences se sauvent mais pas le doute. Je
reste là, j’aimerai que l’on m’oublie un peu, pouvoir me planquer sous mes
draps mais si je doute, j’apprend, je doute car je comprend. Grandir vaut la
peine de serrer encore les dents car sans lui, j’aurais eu l’impression d’être
arrivée alors qu’en réalité j’avais à peine avancer.
Alors
dans ses moments là même si à l’intérieur, c’est le bordel, que j’ai peur de
faire un pas que j’ai peur même du ciel. Je relève la tête car si je doute
d’être heureux ne serait ce que pour donner l’exemple, j’essaye au mieux…
Parole
issue de la chanson Le doute (Réponse à Grand Corps Malade) de Nell’
Je t'invite à écouter cette chanson sur Deezer:
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